Face aux mesures prises par les autorités pour lutter contre la propagation de l’épidémie COVID-19, les associations humanitaires constatent que les autorités n’ont pas les moyens d’information pour appliquer les mesures sanitaires, et que les populations vulnérables n’ont pas les conditions de vie nécessaires pour être en mesure de les respecter.
Les personnes à la rue, les exilé.e.s, les mineur.e.s non accompagné.e.s, les habitant.e.s des squats, celles et ceux qui vivent en hébergement d’urgence doivent être protégé.e.s, tout autant que la population générale, et même priorisé.e.s en matière de prévention. Les personnes vivant dans des conditions précaires ont très peu accès à l’hygiène, aux sanitaires, à l’eau et aux soins, ce qui les surexposent aux risques de contagion de la maladie et à des formes de la maladie plus graves. Les autorités doivent donc prendre des mesures urgentes à destination de ces populations, ainsi qu’en faveur des professionnels et des bénévoles qui interviennent auprès d’elles :
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Juin 2021
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